7. Retour d’Israël : 18
1 *Ha ! pays qui fais ombre avec tesa ailes, [toi] qui es au-delà des fleuves de Cush,
2 qui envoies des ambassadeurs sur la mer, dans des embarcations de papyrus à la surface des eaux, [disant] : Allez, messagers rapides, vers une nation répandue loin et ravagéeb, vers un peuple merveilleuxc dès ce temps et au-delà, vers une nation qui attend, attend, et qui est piétinée, dont le pays a été ravagé par des fleuves.
3 Vous tous, habitants du monde, et vous qui demeurez sur la terre, quand l’étendard sera élevé sur les montagnes, voyez ; et quand la trompetted sonnera, écoutez !
4 Car ainsi m’a dit l’Éternel : Je resterai tranquille et je regarderai de ma demeure, comme une chaleur sereine sur la verduree, comme une nuée de rosée dans la chaleur de la moisson.
5 Car avant la moisson, lorsque la floraison est finie et que la fleur devient un raisin vert qui mûrit, il coupera les pousses avec des serpes, et il ôtera et retranchera les sarments.
6 Ils seront abandonnés ensemble aux oiseaux de proie des montagnes et aux bêtes de la terre ; les oiseaux de proie passeront l’été sur eux, et toutes les bêtes de la terre passeront l’hiver sur eux.
7 En ce temps-là, un présent sera apporté à l’Éternel des armées : un peuplef répandu loin et ravagé, – et [un présent] de la part d’un peuple merveilleuxc dès ce temps et au-delà, de la part d’une nation qui attend, attend et qui est piétinée, dont le pays a été ravagé par des fleuves… [Ils seront apportés] au lieu où est le nom de l’Éternel des armées, à la montagne de Sion.