2. L’arche de l’Éternel chez les Philistins : 5
1 Les Philistins, s’étant emparé de l’arche de Dieu, la transportèrent d’Ében-Ézer à Asdod.
2 Puis les Philistins prirent l’arche de Dieu, l’apportèrent dans la maison de Dagon et la placèrent à côté de Dagon.
3 Le lendemain, les Asdodiens se levèrent de bonne heure, et voici, Dagon était tombé face contre terre devant l’arche de l’Éternel ; ils prirent Dagon et le remirent à sa place.
4 Ils se levèrent de bonne heure le lendemain matin, et voici, Dagon était tombé face contre terre, devant l’arche de l’Éternel ; la tête de Dagon et les deux paumes de ses mains coupées étaient sur le seuil ; il ne lui restait que le tronc ◎ a.
5 C’est pourquoi les sacrificateurs de Dagon et tous ceux qui entrent dans la maison de Dagon, ne marchent pas sur le seuil de Dagon, à Asdod, jusqu’à ce jour.
6 La main de l’Éternel s’appesantit sur les Asdodiens, et il sema la dévastation parmi eux ; il frappa d’hémorroïdes Asdod et son territoire.
7 Les hommes d’Asdod, voyant qu’il en était ainsi, dirent : L’arche du dieu d’Israël ne restera pas avec nous ; car sa main pèse durement sur nous et sur Dagon, notre dieu.
8 Ils firent assembler auprès d’eux tous les princes des Philistins, et dirent : Que ferons-nous de l’arche du dieu d’Israël ? Ils répondirent : Qu’on dirige l’arche du dieu d’Israël vers Gath. Ils y dirigèrent donc l’arche du Dieu d’Israël.
9 Et, après qu’ils l’y eurent dirigée, la main de l’Éternel fut sur la ville : il y eut un très grand trouble, et l’Éternel frappa les hommes de la ville, depuis le petit jusqu’au grand, ils eurent des éruptions d’hémorroïdes.
10 Alors ils envoyèrent l’arche de Dieu à Ékron. Comme l’arche de Dieu entrait à Ékron, les Ékroniens poussèrent des cris, disant : Ils ont dirigé vers nous l’arche du dieu d’Israël, pour nous faire mourir, nous et notre peupleb.
11 Et ils firent assembler tous les princes des Philistins et dirent : Renvoyez l’arche du dieu d’Israël, et qu’elle retourne chez elle, afin qu’elle ne nous fasse pas mourir, nous et notre peupleb. Car il y avait une consternation mortelle dans toute la ville : la main de Dieu s’y appesantissait fort,
12 et les hommes qui ne mouraient pas étaient frappés d’hémorroïdes ; et le cri de la ville montait aux cieux.