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2 Rois 7. 1-20 (DarbyR)

10. La voix de la grâce : 7. 1

1 Élisée dit : Écoutez la parole de l’Éternel. Ainsi dit l’Éternel : Demain à cette heure-ci, la mesurea de fleur de farine sera à un sicle, et les deux mesures d’orge à un sicle, à la porte de Samarie. 11. Incrédulité du capitaine : 7. 2 2 Le capitaine, sur la main duquel le roi s’appuyait, répondit à l’homme de Dieu : Même si l’Éternel faisait des fenêtres aux cieux, cela arriverait-il ? [Élisée] répondit : Voici, tu le verras de tes yeux, mais tu n’en mangeras pas.

12. Perspectives de mort pour quatre lépreux : 7. 3-4

3 Il y avait à l’entrée de la porte de la ville quatre hommes lépreux ; ils se dirent l’un à l’autre : Pourquoi sommes-nous assis ici à attendre la mort ? 4 Si nous disons : Entrons dans la ville, la famine est dans la ville, et nous y mourrons ; et si nous restons assis ici, nous mourrons. Maintenant venez, et passonsb dans le camp des Syriens : s’ils nous laissent vivre, nous vivrons ; et s’ils nous font mourir, nous mourrons. 13. Ils découvrent la délivrance de l’Éternel : 7. 5-8 5 Ils se levèrent au crépuscule pour entrer dans le camp des Syriens ; ils parvinrent à l’extrémité du camp des Syriens, et voici, il n’y avait personne. 6 Car le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d’une grande armée ; [les Syriens] se dirent l’un à l’autre : Voici, le roi d’Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthiens et les rois des Égyptiens, pour venir sur nous. 7 Ils se levèrent au crépuscule et s’enfuirent ; ils abandonnèrent leurs tentes, et leurs chevaux, et leurs ânes, le camp tel quel ; et ils s’enfuirent pour [sauver] leur vie. 8 Ces lépreux, parvenus à l’extrémité du camp, entrèrent dans une tente et ils mangèrent et burent ; ils en emportèrent de l’argent, de l’or et des vêtements qu’ils allèrent cacher. Puis ils revinrent, entrèrent dans une autre tente et en emportèrent [du butin], qu’ils allèrent cacher. 14. L’annonce de la bonne nouvelle : 7. 9-15 9 Alors ils se dirent l’un à l’autre : Nous ne faisons pas bien. Ce jour est un jour de bonnes nouvelles, et nous nous taisons. Si nous attendons jusqu’à la lumière du matin, l’iniquité nous trouvera. Maintenant venez, allons informer la maison du roi. 10 Ils vinrent et crièrent aux portiers de la ville, et les informèrent, disant : Nous sommes venus dans le camp des Syriens ; et voici, il n’y avait personne, aucune voix d’homme, seulement les chevaux attachés, les ânes attachés, et les tentes telles quelles. 11 Les portiers le crièrent et informèrent la maison du roi, à l’intérieur.

12 Le roi se leva de nuit et dit à ses serviteurs : Je veux vous dire ce que les Syriens nous ont fait : ils savent que nous avons faim, et ils sont sortis du camp pour se cacher dans les champs, en se disant : Quand ils sortiront de la ville, nous les prendrons vivants et nous entrerons dans la ville. 13 Un de ses serviteurs répondit  : Qu’on prenne donc cinq des chevaux qui restent encore dans la [ville] (voici, ils sont comme toute la multitude d’Israël qui reste en elle ; voici, ils sont comme toute la multitude d’Israël qui a péri.) Envoyons-les, et nous verrons. 14 Ils prirent deux chars avec leurs chevaux, et le roi les envoya sur les traces de l’armée des Syriens, en disant : Allez voir. 15 Ils s’en allèrent après eux jusqu’au Jourdain ; et voici, tout le chemin était plein de vêtements et d’objets que les Syriens avaient jetés dans leur fuite précipitée ; les messagers s’en retournèrent et le rapportèrent au roi.

15. Délivrance de Samarie : 7. 16-20

16 Le peuple sortit alors et pilla le camp des Syriens : la mesurec de fleur de farine fut à un sicle, et les deux mesuresc d’orge à un sicle, selon la parole de l’Éternel. 17 Le roi avait préposé à la garde de la porte le capitaine sur la main duquel il s’appuyait ; le peuple le piétina à la porte, et il mourut, selon ce qu’avait dit l’homme de Dieu, ce qu’il avait dit quand le roi était descendu vers lui. 18 En effet, cela arriva selon la parole que l’homme de Dieu avait adressée au roi, disant : Les deux mesuresc d’orge seront à un sicle, et la mesurec de fleur de farine sera à un sicle, demain à cette heure-ci, à la porte de Samarie. 19 Le capitaine avait répondu à l’homme de Dieu : Même si l’Éternel faisait des fenêtres aux cieux, pareille chose arriverait-elle ? Il avait répondu : Voici, tu le verras de tes yeux, mais tu n’en mangeras pas. 20 C’est ce qui lui arriva : le peuple le piétina à la porte, et il mourut.


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