Comparateur de versets

# DarbyR close Darby close NEG close SG21 close Sg1910 close BBE close
1 Oh ! que tu sois pour moi comme un frère qui ait tété les seins de ma mère ! Si je te trouvais dehors, je t’embrasserais, sans qu’on m’en méprise. Oh ! que tu aies été pour moi comme un frère qui ait sucé les mamelles de ma mère ! Si je te trouvais dehors, je t’embrasserais, sans qu’on m’en méprise. Oh ! Que n’es-tu mon frère, allaité des mamelles de ma mère ! Je te rencontrerais dehors, je t’embrasserais, et l’on ne me mépriserait pas. Si seulement tu étais comme mon frère, si seulement tu avais été allaité par ma mère ! Je te rencontrerais dehors, je t’embrasserais et l’on ne me mépriserait même pas.(*) Oh ! Que n’es-tu mon frère, Allaité des mamelles de ma mère ! Je te rencontrerais dehors, je t’embrasserais, Et l’on ne me mépriserait pas. Oh ! que tu sois pour moi comme un frère qui ait tété les seins de ma mère ! Si je te trouvais dehors, je t’embrasserais, sans qu’on m’en méprise.
2 Je t’amènerais, je t’introduirais dans la maison de ma mère : tu m’instruiraisa ; je te ferais boire du vin aromatisé, du jus de mes grenades. Je t’amènerais, je t’introduirais dans la maison de ma mère : tu m’instruiraisa ; je te ferais boire du vin aromatisé, du jus de mes grenades. Je veux te conduire, t’amener à la maison de ma mère ; tu me donneras tes instructions, et je te ferai boire du vin parfumé, du moût de mes grenades. Je te conduirais, je t’amènerais chez ma mère, tu m’instruirais et je te ferais boire du vin parfumé, du jus de mes grenades.(*) Je veux te conduire, t’amener à la maison de ma mère ; Tu me donneras tes instructions, Et je te ferai boire du vin parfumé, Du moût de mes grenades. Je t’amènerais, je t’introduirais dans la maison de ma mère : tu m’instruiraisa ; je te ferais boire du vin aromatisé, du jus de mes grenades.
3 Sa main gauche serait sous ma tête, et son bras droit m’enlacerait !
Sa main gauche serait sous ma tête, et sa droite m’embrasserait !
Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse ! Que sa main gauche soutienne ma tête et que de sa main droite il m’enlace !(*) Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m’embrasse ! - Sa main gauche serait sous ma tête, et son bras droit m’enlacerait !
4 Je vous adjure, filles de Jérusalem, pourquoi éveilleriez-vous, et pourquoi réveilleriez-vous [mon] amour, avant qu’elle le veuilleb !
Je vous adjure, filles de Jérusalem, pourquoi éveilleriez-vous, et pourquoi réveilleriez-vous [mon] amour, avant qu’elle le veuilleb !
Je vous en conjure, filles de Jérusalem, ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, avant qu’elle le veuille. Je vous en supplie, filles de Jérusalem, ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour avant qu’elle ne le veuille !(*) Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, Avant qu’elle le veuille. - Je vous adjure, filles de Jérusalem, pourquoi éveilleriez-vous, et pourquoi réveilleriez-vous [mon] amour, avant qu’elle le veuilleb !
5 * Qui est celle-ci qui monte du désert, s’appuyant sur son bien-aimé ? Je t’ai réveillée sous le pommier : ta mère t’a enfantée dans les douleurs, celle qui t’a enfantée a été en travail.
*Qui est celle-ci qui monte du désert, s’appuyant sur son bien-aimé ? – Je t’ai réveillée sous le pommier : ta mère t’a enfantée dans les douleurs, celle qui t’a enfantée a été en travail.
Qui est celle qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé ? je t’ai réveillée sous le pommier ; ta mère t’a enfantée, c’est qu’elle t’a enfantée, qu’elle t’a donné le jour. Qui est celle qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé ? Je t’ai réveillé sous le pommier. C’est que ta mère est tombée enceinte de toi, c’est qu’elle est tombée enceinte et t’a donné le jour.(*) Qui est celle qui monte du désert, Appuyée sur son bien-aimé ? -Je t’ai réveillée sous le pommier ; ta mère t’a enfantée, C’est qu’elle t’a enfantée, qu’elle t’a donné le jour. - * Qui est celle-ci qui monte du désert, s’appuyant sur son bien-aimé ? Je t’ai réveillée sous le pommier : ta mère t’a enfantée dans les douleurs, celle qui t’a enfantée a été en travail.
6 Mets-moi comme un sceauc sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras ; car l’amour est fort comme la mort, la jalousie, cruelle comme le shéol ; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Yah. Mets-moi comme un cachet sur ton cœur, comme un cachet sur ton bras ; car l’amour est fort comme la mort, la jalousie, cruelle comme le shéol ; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Jahc. Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras ; car l’amour est fort comme la mort, la jalousie est inflexible comme le séjour des morts ; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de l’Éternel. Fais de moi comme une empreinte sur ton cœur, comme une empreinte sur ton bras, car l’amour est aussi fort que la mort, la passion est aussi inflexible que le séjour des morts. Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de l’Eternel.(*) Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, Comme un sceau sur ton bras ; Car l’amour est fort comme la mort, La jalousie est inflexible comme le séjour des morts ; Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, Une flamme de l’Éternel. Mets-moi comme un sceauc sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras ; car l’amour est fort comme la mort, la jalousie, cruelle comme le shéol ; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Yah.
7 Beaucoup d’eaux ne peuvent éteindre l’amour, et des fleuves ne le submergent pas ; si un homme donnait tous les biens de sa maison pour l’amour, on l’aurait en un profond mépris.
Beaucoup d’eaux ne peuvent éteindre l’amour, et des fleuves ne le submergent pas ; si un homme donnait tous les biens de sa maison pour l’amour, on l’aurait en un profond mépris .
Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour, et les fleuves ne le submergeraient pas ; quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l’amour, il ne s’attirerait que le mépris. Les grandes eaux ne pourront pas éteindre l’amour, ni les fleuves le submerger. Même si un homme offrait tous les biens de sa maison contre l’amour, il ne s’attirerait que le mépris. Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas ; Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l’amour, Il ne s’attirerait que le mépris. Beaucoup d’eaux ne peuvent éteindre l’amour, et des fleuves ne le submergent pas ; si un homme donnait tous les biens de sa maison pour l’amour, on l’aurait en un profond mépris.
8 Nous avons une petite sœur, et elle n’a pas encore de seins. Que ferons-nous pour notre sœur, au jour l’on parlera d’elle ? Nous avons une petite sœur, et elle n’a pas encore de seins. Que ferons-nous pour notre sœur, au jour l’on parlera d’elle ? Nous avons une petite sœur, qui n’a point encore de mamelles ; que ferons-nous de notre sœur, le jour on la recherchera ? Nous avons une petite sœur qui n’a pas encore de poitrine. Que ferons-nous de notre sœur, le jour on la réclamera ?(*) Nous avons une petite sœur, Qui n’a point encore de mamelles ; Que ferons-nous de notre sœur, Le jour on la recherchera ? Nous avons une petite sœur, et elle n’a pas encore de seins. Que ferons-nous pour notre sœur, au jour l’on parlera d’elle ?
9 Si elle est une muraille, nous bâtirons sur elle une demeured d’argent ; et si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre.
Si elle est une muraille, nous bâtirons sur elle une demeured d’argent ; et si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre.
Si elle est un mur, nous bâtirons sur elle des créneaux d’argent ; si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre. Si elle est un rempart, nous construirons sur elle des créneaux en argent ; si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre. Si elle est un mur, Nous bâtirons sur elle des créneaux d’argent ; Si elle est une porte, Nous la fermerons avec une planche de cèdre. - Si elle est une muraille, nous bâtirons sur elle une demeured d’argent ; et si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre.
10 Je suis une muraille, et mes seins sont des tours ; je fus alors à ses yeux comme celle qui a trouvé la paix. Je suis une muraille, et mes seins sont des tours ; je fus alors à ses yeux comme celle qui a trouvé la paix. Je suis un mur, et mes seins sont comme des tours ; j’ai été à ses yeux comme celle qui trouve la paix. Je suis un rempart et mes seins sont comme des tours. A ses yeux, j’ai été pareille à celle qui trouve la paix.(*) Je suis un mur, Et mes seins sont comme des tours ; J’ai été à ses yeux comme celle qui trouve la paix. Je suis une muraille, et mes seins sont des tours ; je fus alors à ses yeux comme celle qui a trouvé la paix.
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamon : il remit la vigne à des gardiens ; chacun devait apporter pour son fruit 1 000 [pièces] d’argent. Salomon avait une vigne à Baal-Hamon : il remit la vigne à des gardiens ; chacun devait apporter pour son fruit 1 000 [pièces] d’argent. Salomon avait une vigne à Baal-Hamon ; il remit la vigne à des gardiens ; chacun apportait pour son fruit mille sicles d’argent. Salomon avait une vigne à Baal-Hamon. Il a confié la vigne à des gardiens : chacun apportait 1000 pièces d’argent pour récolter son fruit.(*) Salomon avait une vigne à Baal-Hamon ; Il remit la vigne à des gardiens ; Chacun apportait pour son fruit mille sicles d’argent. Salomon avait une vigne à Baal-Hamon : il remit la vigne à des gardiens ; chacun devait apporter pour son fruit 1 000 [pièces] d’argent.
12 Ma vigne, qui est à moi, est devant moi. À toi, Salomon, les 1 000 [pièces] ; et 200 pour ceux qui en gardent le fruit.
Ma vigne, qui est à moi, est devant moi. À toi, Salomon, les 1 000 [pièces] ; et 200 pour ceux qui en gardent le fruit.
Ma vigne, qui est à moi, je la garde. À toi, Salomon, les mille sicles, et deux cents à ceux qui gardent le fruit ! Ma vigne à moi, je la garde. A toi, Salomon, les 1000 pièces, et 200 à ceux qui gardent son fruit !(*) Ma vigne, qui est à moi, je la garde. À toi, Salomon, les mille sicles, Et deux cents à ceux qui gardent le fruit ! - Ma vigne, qui est à moi, est devant moi. À toi, Salomon, les 1 000 [pièces] ; et 200 pour ceux qui en gardent le fruit.
13 Habitante des jardins, les compagnons sont attentifs à ta voix ! Fais que je l’entende !
Habitante des jardins, les compagnons sont attentifs à ta voix ! Fais que je l’entende !
Habitante des jardins ! Des amis prêtent l’oreille à ta voix. Daigne me la faire entendre ! Habitante des jardins, des compagnons prêtent attention à ta voix. Fais-la-moi entendre !(*) Habitante des jardins ! Des amis prêtent l’oreille à ta voix. Daigne me la faire entendre ! - Habitante des jardins, les compagnons sont attentifs à ta voix ! Fais que je l’entende !
14 Fuis, mon bien-aimé, et sois semblable à une gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes des aromates.
Fuis, mon bien-aimé, et sois semblable à une gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes des aromates.e
Fuis, mon bien-aimé ! Sois semblable à la gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes des aromates ! Prends la fuite, mon bien-aimé ! Montre-toi pareil à la gazelle ou au jeune cerf sur les montagnes aux aromates !(*) Fuis, mon bien-aimé ! Sois semblable à la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes des aromates ! Fuis, mon bien-aimé, et sois semblable à une gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes des aromates.
translate arrow_upward