Comparateur de versets

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1 Je suis le narcisse de Saron, le lis des vallées.
Je suis le narcisse de Saron, le lis des vallées.
Je suis un narcisse de Saron, un lis des vallées. Je suis un narcisse du Saron, un lis des vallées.(*) Je suis un narcisse de Saron, Un lis des vallées. - Je suis le narcisse de Saron, le lis des vallées.
2 Comme le lis entre les épines, telle est mon amie entre les filles.
Comme le lis entre les épines, telle est mon amie entre les filles.
Comme un lis au milieu des épines, telle est mon amie parmi les jeunes filles. Pareille à un lis au milieu des ronces, telle est mon amie parmi les filles. Comme un lis au milieu des épines, Telle est mon amie parmi les jeunes filles. - Comme le lis entre les épines, telle est mon amie entre les filles.
3 Comme le pommier entre les arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé entre les fils ; j’ai pris plaisir à son ombre, et je m’y suis assise ; et son fruit est doux à mon palais. Comme le pommier entre les arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé entre les fils ; j’ai pris plaisir à son ombre, et je m’y suis assise ; et son fruit est doux à mon palais. Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’ai désiré m’asseoir à son ombre, et son fruit est doux à mon palais. Pareil à un pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’aime m’asseoir à son ombre, et son fruit est doux à mon goût.(*) Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, Tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’ai désiré m’asseoir à son ombre, Et son fruit est doux à mon palais. Comme le pommier entre les arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé entre les fils ; j’ai pris plaisir à son ombre, et je m’y suis assise ; et son fruit est doux à mon palais.
4 Il m’a fait entrer dans la maison du vin ; et sa bannière sur moi, c’est l’amour. Il m’a fait entrer dans la maison du vin ; et sa bannière sur moi, c’est l’amour. Il m’a fait entrer dans la maison du vin ; et la bannière qu’il déploie sur moi, c’est l’amour. Il m’a fait entrer dans la maison du vin, et l’étendard qu’il déploie au-dessus de moi, c’est l’amour.(*) Il m’a fait entrer dans la maison du vin ; Et la bannière qu’il déploie sur moi, c’est l’amour. Il m’a fait entrer dans la maison du vin ; et sa bannière sur moi, c’est l’amour.
5 Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, ranimez-moi avec des pommes ; car je suis malade d’amour. Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, ranimez-moi avec des pommes ; car je suis malade d’amour. Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, fortifiez-moi avec des pommes ; car je suis malade d’amour. Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, fortifiez-moi avec des pommes, car je suis malade d’amour ! Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, Fortifiez-moi avec des pommes ; Car je suis malade d’amour. Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, ranimez-moi avec des pommes ; car je suis malade d’amour.
6 Sa main gauche est sous ma tête, et son bras droit m’enlace.
Sa main gauche est sous ma tête, et sa droite m’embrasse.
Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse ! Que sa main gauche soutienne ma tête et que de sa main droite il m’enlace !(*) Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m’embrasse ! - Sa main gauche est sous ma tête, et son bras droit m’enlace.
7 aJe vous adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles ou par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas [mon] amour, jusqu’à ce qu’elleb le veuille.
Je vous adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles ou par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas [mon] amour, jusqu’à ce qu’ellea le veuille.
Je vous en conjure, filles de Jérusalem, par les gazelles et les biches des champs, ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, avant qu’elle le veuille. Je vous en supplie, filles de Jérusalem, par les gazelles et les biches des champs, ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour avant qu’elle ne le veuille !(*) Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Par les gazelles et les biches des champs, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, Avant qu’elle le veuille. - aJe vous adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles ou par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas [mon] amour, jusqu’à ce qu’elleb le veuille.
8 * La voix de mon bien-aimé ! le voici qui vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines. *La voix de mon bien-aimé ! le voici qui vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines. C’est la voix de mon bien-aimé ! Le voici, il vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines. C’est la voix de mon bien-aimé ! Le voici qui arrive, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines.(*) C’est la voix de mon bien-aimé ! Le voici, il vient, Sautant sur les montagnes, Bondissant sur les collines. * La voix de mon bien-aimé ! le voici qui vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines.
9 Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches. Le voici, il se tient derrière notre mur, il regarde par les fenêtres, il regardec à travers les treillis. Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches. Le voici , il se tient derrière notre mur, il regarde par les fenêtres, il regardeb à travers les treillis. Mon bien-aimé est semblable à la gazelle ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, il regarde par la fenêtre, il regarde par le treillis. Mon bien-aimé est pareil à la gazelle ou au jeune cerf . Le voici : il se tient derrière notre mur, observant par la fenêtre, regardant par le treillis. Mon bien-aimé est semblable à la gazelle Ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, Il regarde par la fenêtre, Il regarde par le treillis. Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches. Le voici, il se tient derrière notre mur, il regarde par les fenêtres, il regardec à travers les treillis.
10 Mon bien-aimé m’a parlé, et m’a dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! Mon bien-aimé m’a parlé, et m’a dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens  ! Mon bien-aimé parle et me dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens  ! Mon bien-aimé parle et me dit : «Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens  !(*) Mon bien-aimé parle et me dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens! Mon bien-aimé m’a parlé, et m’a dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !
11 Car voici, l’hiver est passé, la pluie a cessé, elle s’en est allée ; Car voici, l’hiver est passé, la pluie a cessé, elle s’en est allée ; Car voici, l’hiver est passé ; la pluie a cessé, elle s’en est allée. En effet, l’hiver est passé, la pluie a cessé, elle s’en est allée. Car voici, l’hiver est passé ; La pluie a cessé, elle s’en est allée. Car voici, l’hiver est passé, la pluie a cessé, elle s’en est allée ;
12 les fleurs paraissent sur la terre, la saison des chants est arrivée, et la voix de la tourterelle s’entend dans notre pays ; les fleurs paraissent sur la terre, la saison des chants est arrivée, et la voix de la tourterelle s’entend dans notre pays ; Les fleurs paraissent sur la terre, le temps de chanter est arrivé, et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes. Les fleurs apparaissent dans le pays, le temps de chanter est arrivé et l’on entend le roucoulement de la tourterelle dans notre pays.(*) Les fleurs paraissent sur la terre, Le temps de chanter est arrivé, Et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes. les fleurs paraissent sur la terre, la saison des chants est arrivée, et la voix de la tourterelle s’entend dans notre pays ;
13 le figuier embaume ses figues d’hiver, et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! le figuier embaume ses figues d’hiver, et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens  ! Le figuier forme ses premiers fruits, et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens  ! Le figuier embaume par ses fruits et les vignes en fleur répandent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens  ! Le figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens! le figuier embaume ses figues d’hiver, et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !
14 Ma colombe, [qui te tiens] dans les fentes du rocher, dans les cachettes des lieux escarpés, montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce, et ton visage est agréable. Ma colombe, [qui te tiens] dans les fentes du rocher, dans les cachettes des lieux escarpés, montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce, et ton visage est agréable. Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, qui te caches dans les parois escarpées, fais-moi voir ta figure, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce, et ta figure est agréable. Ma colombe, toi qui te tiens dans les fentes du rocher, qui te caches dans les parois escarpées, fais-moi voir ta figure, fais-moi entendre ta voix, car ta voix est douce et ta figure est charmante !»(*) Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, Qui te caches dans les parois escarpées, Fais-moi voir ta figure, Fais-moi entendre ta voix ; Car ta voix est douce, et ta figure est agréable. Ma colombe, [qui te tiens] dans les fentes du rocher, dans les cachettes des lieux escarpés, montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce, et ton visage est agréable.
15 Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur. – Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur. – Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes ; car nos vignes sont en fleur. Attrapez pour nous les renards, les petits renards qui dévastent les vignes, car nos vignes sont en fleur !(*) Prenez-nous les renards, Les petits renards qui ravagent les vignes ; Car nos vignes sont en fleur. Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur. –
16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui, qui fait paître [son troupeau] parmi les lis, Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui, qui paît parmi les lis, Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ; il fait paître son troupeau parmi les lis. Mon bien-aimé est à moi, et moi je suis à lui. Il conduit son troupeau parmi les lis.(*) Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ; Il fait paître son troupeau parmi les lis. Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui, qui fait paître [son troupeau] parmi les lis,
17 jusqu’à ce que l’aube se lève et que les ombres fuient. Tourne-toid, mon bien-aimé ! sois semblable à la gazelle ou au faon des biches sur les montagnes de Béthere.
jusqu’à ce que l’aube se lève et que les ombres fuient. – Tourne-toic ; sois semblable, mon bien-aimé, à la gazelle ou au faon des biches sur les montagnes de Bétherd.
Avant que le jour se rafraîchisse, et que les ombres fuient, reviens !… sois semblable, mon bien-aimé, à la gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes qui nous séparent. Avant que la brise du jour ne souffle et que les ombres ne fuient, tourne-toi ! Montre-toi pareil, mon bien-aimé, à la gazelle ou au jeune cerf , sur les montagnes rocailleuses !(*) Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, Reviens !… sois semblable, mon bien-aimé, À la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes qui nous séparent. jusqu’à ce que l’aube se lève et que les ombres fuient. Tourne-toid, mon bien-aimé ! sois semblable à la gazelle ou au faon des biches sur les montagnes de Béthere.
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