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1 Au chef de musique, à Jeduthuna. Psaume de David. Au chef de musique, à Jeduthun. Psaume de David. Au chef des chantres. À Jeduthun. Psaume de David. Au chef de chœur, à Jeduthun. Psaume de David.(*) Au chef des chantres. À Jeduthun, Psaume de David. Au chef de musique, à Jeduthuna. Psaume de David.
2 J’ai dit : Je prendrai garde à mes voies, afin que je ne pèche pas par ma langue ; je garderai ma bouche avec une muselière pendant que le méchant est devant moi.
J’ai dit : Je prendrai garde à mes voies, afin que je ne pèche point par ma langue ; je garderai ma bouche avec une muselière pendant que le méchant est devant moi.
Je disais : Je veillerai sur mes voies, de peur de pécher par ma langue ; je mettrai un frein à ma bouche, tant que le méchant sera devant moi. Je disais : «Je veillerai sur ma conduite de peur de pécher en paroles ; je mettrai un frein à mes lèvres tant que le méchant sera devant moi(*) Je disais : Je veillerai sur mes voies, De peur de pécher par ma langue ; Je mettrai un frein à ma bouche, Tant que le méchant sera devant moi. J’ai dit : Je prendrai garde à mes voies, afin que je ne pèche pas par ma langue ; je garderai ma bouche avec une muselière pendant que le méchant est devant moi.
3 J’ai été muet, dans le silence ; je me suis tu à l’égard du bien ; et ma douleur a été ravivée.
J’ai été muet, dans le silence ; je me suis tu à l’égard du bien ; et ma douleur a été excitée.
Je suis resté muet, dans le silence ; je me suis tu, quoique malheureux ; et ma douleur n’était pas moins vive. Je suis resté muet, dans le silence, je me suis tu, quoique malheureux, et ma douleur était vive. Je suis resté muet, dans le silence ; Je me suis tu, quoique malheureux ; Et ma douleur n’était pas moins vive. J’ai été muet, dans le silence ; je me suis tu à l’égard du bien ; et ma douleur a été ravivée.
4 Mon cœur s’est échauffé au-dedans de moi ; dans ma méditation le feu s’est allumé, j’ai parlé de ma langue :
Mon cœur s’est échauffé au-dedans de moi ; dans ma méditation le feu s’est allumé, j’ai parlé de ma langue :
Mon cœur brûlait au-dedans de moi, un feu intérieur me consumait, et la parole est venue sur ma langue. Mon cœur brûlait au fond de moi, mes pensées étaient comme un feu brûlant, et la parole est venue sur ma langue : Mon cœur brûlait au dedans de moi, Un feu intérieur me consumait, Et la parole est venue sur ma langue. Mon cœur s’est échauffé au-dedans de moi ; dans ma méditation le feu s’est allumé, j’ai parlé de ma langue :
5 Éternel ! fais-moi connaître ma fin, et la mesure de mes jours, ce qu’elle est ; je saurai combien je suis fragile.
Éternel ! fais-moi connaître ma fin, et la mesure de mes jours, ce qu’elle est ; je saurai combien je suis fragile.
Éternel ! dis-moi quel est le terme de ma vie, quelle est la mesure de mes jours ; que je sache combien je suis fragile. «Eternel, fais-moi connaître quand finira ma vie, quel est le nombre de mes jours, afin que je sache combien je suis peu de chose. Éternel ! dis-moi quel est le terme de ma vie, Quelle est la mesure de mes jours ; Que je sache combien je suis fragile. Éternel ! fais-moi connaître ma fin, et la mesure de mes jours, ce qu’elle est ; je saurai combien je suis fragile.
6 Voici, tu m’as donné des jours comme la largeur d’une main, et ma durée est comme un rien devant toi. Oui, tout homme qui se tient debout n’est que vanité. (Pause).
Voici, tu m’as donné des jours comme la largeur d’une main, et ma durée est comme un rien devant toi. Certainement, tout homme qui se tient debout n’est que vanité. Sélah.
Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main, et ma vie est comme un rien devant toi. Oui, tout homme debout n’est qu’un souffle. – Pause. Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main, et ma vie est comme un rien devant toiOui, même vigoureux, l’homme n’est qu’un souffle. – Pause.(*) Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main, Et ma vie est comme un rien devant toi. Oui, tout homme debout n’est qu’un souffle. -Pause. Voici, tu m’as donné des jours comme la largeur d’une main, et ma durée est comme un rien devant toi. Oui, tout homme qui se tient debout n’est que vanité. (Pause).
7 Oui, l’homme se promène parmib ce qui n’a que l’apparence ; oui, il s’agite en vain ; il amasse [des biens], sans savoir qui les recueillera.
Certainement l’homme se promène parmia ce qui n’a que l’apparence ; certainement il s’agite en vain ; il amasse [des biens], et il ne sait qui les recueillera.
Oui, l’homme se promène comme une ombre, il s’agite vainement ; il amasse, et il ne sait qui recueillera. Oui, l’homme va et vient comme une ombre : il s’agite, mais c’est pour du vent ; il amasse des richesses, et il ignore qui les recevra.(*) Oui, l’homme se promène comme une ombre, Il s’agite vainement ; Il amasse, et il ne sait qui recueillera. Oui, l’homme se promène parmib ce qui n’a que l’apparence ; oui, il s’agite en vain ; il amasse [des biens], sans savoir qui les recueillera.
8 Et maintenant, qu’est-ce que j’attends, Seigneur ? Mon attente est en toi.
Et maintenant, qu’est-ce que j’attends, Seigneur ? Mon attente est en toi.
Maintenant, Seigneur, que puis-je espérer ? En toi est mon espérance. Maintenant, Seigneur, que puis-je espérer ? C’est en toi qu’est mon espérance. Maintenant, Seigneur, que puis-je espérer ? En toi est mon espérance. Et maintenant, qu’est-ce que j’attends, Seigneur ? Mon attente est en toi.
9 Délivre-moi de toutes mes transgressions ; ne me livre pas aux outrages de l’insensé.
Délivre-moi de toutes mes transgressions ; ne me livre pas à l’opprobre de l’insensé.
Délivre-moi de toutes mes transgressions ! Ne me rends pas l’opprobre de l’insensé ! Délivre-moi de toutes mes transgressions ! Ne m’expose pas aux insultes du fou !(*) Délivre-moi de toutes mes transgressions ! Ne me rends pas l’opprobre de l’insensé ! Délivre-moi de toutes mes transgressions ; ne me livre pas aux outrages de l’insensé.
10 Je suis resté muet, je n’ai pas ouvert la bouche, car c’est toi qui agis.
Je suis resté muet, je n’ai pas ouvert la bouche, car c’est toi qui l’as fait.
Je reste muet, je n’ouvre pas la bouche, car c’est toi qui agis. Je reste muet, je n’ouvre pas la bouche, car c’est toi qui agis. Je reste muet, je n’ouvre pas la bouche, Car c’est toi qui agis. Je suis resté muet, je n’ai pas ouvert la bouche, car c’est toi qui agis.
11 Retire de dessus moi ta plaie : je suis consumé par les coups de ta main.
Retire de dessus moi ta plaie : je suis consumé par les coups de ta main.
Détourne de moi tes coups ! Je succombe sous les attaques de ta main. Détourne tes coups de moi ! Je m’épuise sous les attaques de ta main. Détourne de moi tes coups ! Je succombe sous les attaques de ta main. Retire de dessus moi ta plaie : je suis consumé par les coups de ta main.
12 Quand tu châties un homme, en le corrigeant à cause de l’iniquité, tu rongesc comme la mite sa beauté ; certainement, tout homme n’est que vanité. (Pause).
Quand tu châties un homme, en le corrigeant à cause de l’iniquité, tu consumesb comme la teigne sa beauté ; certainement, tout homme n’est que vanité. Sélah.
Tu châties l’homme en le punissant de son iniquité, tu détruis comme la teigne ce qu’il a de plus cher. Oui, tout homme est un souffle. – Pause. Tu corriges l’homme en le punissant de sa faute, tu détruis comme la teigne ce qu’il a de plus cher. Oui, tout homme n’est qu’un souffle. – Pause.(*) Tu châties l’homme en le punissant de son iniquité, Tu détruis comme la teigne ce qu’il a de plus cher. Oui, tout homme est un souffle. -Pause. Quand tu châties un homme, en le corrigeant à cause de l’iniquité, tu rongesc comme la mite sa beauté ; certainement, tout homme n’est que vanité. (Pause).
13 Écoute ma prière, ô Éternel ! et prête l’oreille à mon cri ; ne sois pas sourd à mes larmes, car je suis un étranger, un hôte chez toi, comme tous mes pères.
Écoute ma prière, ô Éternel ! et prête l’oreille à mon cri ; ne sois pas sourd à mes larmes, car je suis un étranger, un hôte, chez toi, comme tous mes pères.
Écoute ma prière, Éternel, et prête l’oreille à mes cris ! Ne sois pas insensible à mes larmes ! Car je suis un étranger chez toi, un habitant, comme tous mes pères. Ecoute ma prière, Eternel, et prête l’oreille à mes cris ! Ne sois pas insensible à mes larmes, car je suis un étranger chez toi, un résident temporaire, comme tous mes ancêtres.(*) Écoute ma prière, Éternel, et prête l’oreille à mes cris ! Ne sois pas insensible à mes larmes ! Car je suis un étranger chez toi, Un habitant, comme tous mes pères. Écoute ma prière, ô Éternel ! et prête l’oreille à mon cri ; ne sois pas sourd à mes larmes, car je suis un étranger, un hôte chez toi, comme tous mes pères.
14 Détourne tes regards de moid, et que je retrouve ma force, avant que je m’en aille et que je ne sois plus.
Détourne tes regards de moi, et que je retrouve ma force, avant que je m’en aille et que je ne sois plus.
Détourne de moi le regard, et laisse-moi respirer, avant que je m’en aille et que je ne sois plus ! Détourne ton regard de moi et laisse-moi respirer, avant que je m’en aille et que je disparaisse ! Détourne de moi le regard, et laisse-moi respirer, Avant que je m’en aille et que ne sois plus ! Détourne tes regards de moid, et que je retrouve ma force, avant que je m’en aille et que je ne sois plus.
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