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1 *Prière de Habakuk, le prophète. Sur Shiguionotha.
*Prière de Habakuk, le prophète. Sur Shiguionotha.
Prière d’Habakuk, le prophète. Sur le mode des complaintes. Prière du prophète Habakuk. Sur le mode des complaintes.(*) Prière d’Habakuk, le prophète. (Sur le mode des complaintes.) *Prière de Habakuk, le prophète. Sur Shiguionotha.
2 Ô Éternel, j’ai entendu ce que tu as déclaré, et j’ai eu peur. Éternel, ravive ton œuvre au milieu des années ; au milieu des années, fais-la connaître. Dans la colère, souviens-toi de la miséricorde !
Ô Éternel, j’ai entendu ce que tu as déclaré, [et] j’ai eu peur. Éternel, ravive ton œuvre au milieu des années ; au milieu des années, fais-la connaître. Dans la colère, souviens-toi de la miséricorde !
Éternel, j’ai entendu ce que tu as annoncé, je suis saisi de crainte. Accomplis ton œuvre dans le cours des années, ô Éternel ! Dans le cours des années manifeste-la ! Mais dans ta colère souviens-toi de tes compassions ! Eternel, j’ai entendu ce que tu as annoncé, je suis saisi de crainte. Accomplis ton œuvre dans le cours des années, Eternel, dans le cours des années fais-la connaître, mais dans ta colère souviens-toi de ta compassion !(*) Éternel, j’ai entendu ce que tu as annoncé, je suis saisi de crainte. Accomplis ton œuvre dans le cours des années, ô Éternel ! Dans le cours des années manifeste-la ! Mais dans ta colère souviens-toi de tes compassions ! Ô Éternel, j’ai entendu ce que tu as déclaré, et j’ai eu peur. Éternel, ravive ton œuvre au milieu des années ; au milieu des années, fais-la connaître. Dans la colère, souviens-toi de la miséricorde !
3 ✝Dieu vint de Théman, et le Saint, de la montagne de Paran. (Pause).
Sa magnificence couvre les cieux, et sa louange remplit la terre ;
✝Dieu vint de Théman, et le Saint, de la montagne de Paran. Sélah.
Sa magnificence couvre les cieux, et sa louange remplit la terre ;
Dieu vient de Théman, le Saint vient de la montagne de Paran… – Pause. Sa majesté couvre les cieux, et sa gloire remplit la terre. Dieu vient de Théman, le Saint vient des monts de Paran. – Pause. Sa majesté couvre le ciel et sa gloire remplit la terre.(*) Dieu vient de Théman, Le Saint vient de la montagne de ParanPause. Sa majesté couvre les cieux, Et sa gloire remplit la terre. ✝Dieu vint de Théman, et le Saint, de la montagne de Paran. (Pause).
Sa magnificence couvre les cieux, et sa louange remplit la terre ;
4 Et sa splendeur était comme la lumière : des rayonsb lui jaillissaient de la main ; et se cachait sa force.
Et sa splendeur était comme la lumière : des rayonsb lui jaillissaient de la main ; et se cachait sa force.
C’est comme l’éclat de la lumière ; des rayons partent de sa main ; réside sa force. C’est comme l’éclat de la lumière : des rayons partent de sa main ; réside sa force. C’est comme l’éclat de la lumière ; Des rayons partent de sa main ; réside sa force. Et sa splendeur était comme la lumière : des rayonsb lui jaillissaient de la main ; et se cachait sa force.
5 La peste marchait devant lui, et une flamme ardente sortait sous ses pas.
La peste marchait devant lui, et une flamme ardente sortait sous ses pas.
Devant lui marche la peste, et la peste est sur ses traces. Devant lui avance la peste, et la fièvre marche sur ses traces. Devant lui marche la peste, Et la peste est sur ses traces. La peste marchait devant lui, et une flamme ardente sortait sous ses pas.
6 Il se tint et mesurac la terre, il regarda et mit en déroute les nations ;
Et les montagnes antiques furent brisées en éclats, les collines éternelles s’affaissèrent. Ses voies sont éternelles.
Il se tint et mesurac la terre, il regarda et mit en déroute les nations ;
Et les montagnes antiques furent brisées en éclats, les collines éternelles s’affaissèrent. Ses voies sont éternelles.
Il s’arrête, et de l’œil il mesure la terre ; il regarde, et il fait trembler les nations ; les montagnes séculaires se brisent, les collines antiques s’abaissent ; les sentiers d’autrefois s’ouvrent devant lui. Il s’arrête, et de l’œil il mesure la terre, il regarde, et il fait trembler les nations ; les montagnes éternelles se brisent, les collines anciennes s’abaissent. A lui les sentiers d’autrefois !(*) Il s’arrête, et de l’œil il mesure la terre ; Il regarde, et il fait trembler les nations ; Les montagnes éternelles se brisent, Les collines antiques s’abaissent ; Les sentiers d’autrefois s’ouvrent devant lui. Il se tint et mesurac la terre, il regarda et mit en déroute les nations ;
Et les montagnes antiques furent brisées en éclats, les collines éternelles s’affaissèrent. Ses voies sont éternelles.
7 Je vis les tentes de Cushan dans l’affliction ; les tentures du pays de Madian tremblèrent.
Je vis les tentes de Cushan dans l’affliction ; les tentures du pays de Madian tremblèrent.
Je vois dans la détresse les tentes de l’Ethiopie, et les tentes du pays de Madian sont dans l’épouvante. Je vois les tentes de l’Ethiopie réduites à rien, et les tentes du pays de Madian sont dans l’épouvante.(*) Je vois dans la détresse les tentes de l’Éthiopie, Et les tentes du pays de Madian sont dans l’épouvante. Je vis les tentes de Cushan dans l’affliction ; les tentures du pays de Madian tremblèrent.
8 Est-ce contre les rivières que s’irrita l’Éternel ? ou contre les rivières que fut ta colère ? contre la mer, ta fureur, que tu sois monté sur tes chevaux, [sur] tes chars de salut ?
Est-ce contre les rivières que s’irrita l’Éternel ? ou contre les rivières que fut ta colère ? contre la mer, ta fureur, que tu sois monté sur tes chevaux, [sur] tes chars de salut ?
L’Éternel est-il irrité contre les fleuves ? Est-ce contre les fleuves que s’enflamme ta colère, contre la mer que se répand ta fureur, pour que tu sois monté sur tes chevaux, sur ton char de victoire ? L’Eternel est-il irrité contre les fleuves ? Est-ce contre les fleuves que s’enflamme ta colère, est-ce contre la mer que se déverse ta fureur, pour que tu sois monté sur tes chevaux, sur ton char de victoire ? L’Éternel est-il irrité contre les fleuves ? Est-ce contre les fleuves que s’enflamme ta colère, Contre la mer que se répand ta fureur, Pour que tu sois monté sur tes chevaux, Sur ton char de victoire ? Est-ce contre les rivières que s’irrita l’Éternel ? ou contre les rivières que fut ta colère ? contre la mer, ta fureur, que tu sois monté sur tes chevaux, [sur] tes chars de salut ?
9 Ton arc était mis à nu,… les bâtons [de jugement] jurés par [ta] parole. (Pause). Tu fendis la terre par des rivières.
Ton arc était mis à nu ,… les verges [de jugement] jurées par [ta] parole. Sélah. Tu fendis la terre par des rivières.
Ton arc est mis à nu  ; les malédictions sont les traits de ta parole… – Pause. Tu fends la terre pour donner cours aux fleuves. Tu prépares ton arc , tes serments sont les flèches de ta parole. – Pause. Tu fends la terre par des torrents.(*) Ton arc est mis à nu ; Les malédictions sont les traits de ta parolePause. Tu fends la terre pour donner cours aux fleuves. Ton arc était mis à nu,… les bâtons [de jugement] jurés par [ta] parole. (Pause). Tu fendis la terre par des rivières.
10 Les montagnes te virent, elles tremblèrent ; des torrents d’eau passèrent, l’abîme fit retentir sa voix ; il leva ses mains en haut.
Les montagnes te virent, elles tremblèrent ; des torrents d’eau passèrent, l’abîme fit retentir sa voix ; il leva ses mains en haut.
À ton aspect, les montagnes tremblent ; des torrents d’eau se précipitent ; l’abîme fait entendre sa voix, il lève ses mains en haut. A ton aspect, les montagnes tremblent, des trombes d’eau s’abattent, l’abîme fait entendre sa voix, il lève ses mains en haut.(*) À ton aspect, les montagnes tremblent ; Des torrents d’eau se précipitent ; L’abîme fait entendre sa voix, Il lève ses mains en haut. Les montagnes te virent, elles tremblèrent ; des torrents d’eau passèrent, l’abîme fit retentir sa voix ; il leva ses mains en haut.
11 Le soleil, la lune, s’arrêtèrent dans leur demeure à la lumière de tes flèches qui volaient, à la splendeur de l’éclair de ta lance.
Le soleil, la lune, s’arrêtèrent dans leur demeure à la lumière de tes flèches qui volaient, à la splendeur de l’éclair de ta lance.
Le soleil et la lune s’arrêtent dans leur demeure, à la lumière de tes flèches qui partent, à la clarté de ta lance qui brille. Le soleil et la lune s’arrêtent dans leur résidence, à la lumière de tes flèches qui partent, à la clarté de ta lance qui brille. Le soleil et la lune s’arrêtent dans leur demeure, À la lumière de tes flèches qui partent, À la clarté de ta lance qui brille. Le soleil, la lune, s’arrêtèrent dans leur demeure à la lumière de tes flèches qui volaient, à la splendeur de l’éclair de ta lance.
12 Tu parcourus le pays avec indignation, tu foulas les nations avec colère.
Tu parcourus le pays avec indignation, tu foulas les nations avec colère.
Tu parcours la terre dans ta fureur, tu écrases les nations dans ta colère. Tu parcours la terre dans ta fureur, tu écrases les nations dans ta colère. Tu parcours la terre dans ta fureur, Tu écrases les nations dans ta colère. Tu parcourus le pays avec indignation, tu foulas les nations avec colère.
13 Tu sortis pour le salut de ton peuple, pour le salut de ton oint ; tu brisas le faîted de la maison du méchant, mettant à nu les fondements jusqu’au cou. (Pause).
Tu sortis pour le salut de ton peuple, pour le salut de ton oint ; tu brisas le faîted de la maison du méchant, mettant à nu les fondements jusqu’au cou. Sélah.
Tu sors pour délivrer ton peuple, pour délivrer ton oint ; tu brises le faîte de la maison du méchant, tu la détruis de fond en comble. – Pause. Tu sors pour délivrer ton peuple, pour délivrer celui que tu as consacré par onction. Tu brises le faîte de la maison du méchant, tu la détruis de fond en comble. – Pause.(*) Tu sors pour délivrer ton peuple, Pour délivrer ton oint ; Tu brises le faîte de la maison du méchant, Tu la détruis de fond en comble. Pause. Tu sortis pour le salut de ton peuple, pour le salut de ton oint ; tu brisas le faîted de la maison du méchant, mettant à nu les fondements jusqu’au cou. (Pause).
14 Tu transperças de ses propres flèches la tête de ses chefse : ils arrivaient comme un tourbillon pour me disperser, leur joie était comme de dévorer l’affligé en secret.
Tu transperças de ses propres traits la tête de ses chefse : ils arrivaient comme un tourbillon pour me disperser, leur joie était comme de dévorer l’affligé en secret.
Tu perces de tes traits la tête de ses chefs, qui se précipitent comme la tempête pour me disperser, poussant des cris de joie, comme s’ils dévoraient déjà le malheureux dans leur repaire. Tu transperces de leurs propres flèches la tête de ses chefs qui se précipitaient comme une tempête pour nous disperser. Ils poussaient des cris de joie, comme s’ils dévoraient déjà le malheureux dans leur repaire.(*) Tu perces de tes traits la tête de ses chefs, Qui se précipitent comme la tempête pour me disperser, Poussant des cris de joie, Comme s’ils dévoraient déjà le malheureux dans leur repaire. Tu transperças de ses propres flèches la tête de ses chefse : ils arrivaient comme un tourbillon pour me disperser, leur joie était comme de dévorer l’affligé en secret.
15 Tu traversas la mer avec tes chevaux, l’amas de grandes eaux.
Tu traversas la mer avec tes chevaux, l’amas de grandes eaux.
Avec tes chevaux tu foules la mer, la boue des grandes eaux. Avec tes chevaux tu parcours la mer, le bouillonnement de grandes eaux.(*) Avec tes chevaux tu foules la mer, La boue des grandes eaux. Tu traversas la mer avec tes chevaux, l’amas de grandes eaux.
16 J’entendis, et mes entraillesf tremblèrent ; à la voix [que j’entendis] mes lèvres frémirent, la pourriture entra dans mes os, et je tremblai sous moi-même, pour que j’aie du repos au jour de la détresse, quand montera contre le peuple celui qui l’assaillirag.
J’entendis, et mes entraillesf tremblèrent ; à la voix [que j’entendis] mes lèvres frémirent, la pourriture entra dans mes os, et je tremblai sous moi-même, pour que j’aie du repos au jour de la détresse, quand montera contre le peuple celui qui l’assaillirag.
J’ai entenduEt mes entrailles sont émues. À cette voix, mes lèvres frémissent, mes os se consument, et mes genoux chancellent : En silence je dois attendre le jour de la détresse, le jour l’oppresseur marchera contre le peuple. J’ai entendu et je suis tout bouleversé. A cette voix, mes lèvres tremblent, la pourriture vient dans mes os et mes jambes tremblent. Sans bouger j’attends le jour de la détresse, le jour notre assaillant marchera contre le peuple.(*) J’ai entenduEt mes entrailles sont émues. À cette voix, mes lèvres frémissent, Mes os se consument, Et mes genoux chancellent : En silence je dois attendre le jour de la détresse, Le jour l’oppresseur marchera contre le peuple. J’entendis, et mes entraillesf tremblèrent ; à la voix [que j’entendis] mes lèvres frémirent, la pourriture entra dans mes os, et je tremblai sous moi-même, pour que j’aie du repos au jour de la détresse, quand montera contre le peuple celui qui l’assaillirag.
17 Car le figuier ne fleurira pas, et il n’y aura pas de produit dans les vignes ; le travail de l’olivier mentira, et les campagnes ne produiront pas de nourriture ; les brebis manqueront dans l’enclos, et il n’y aura pas de bœufs dans les étables ;
Car le figuier ne fleurira pas, et il n’y aura point de produit dans les vignes ; le travail de l’olivier mentira, et les campagnes ne produiront pas de nourriture ; les brebis manqueront dans le parc, et il n’y aura pas de bœufs dans les étables ;
Car le figuier ne fleurira pas, la vigne ne produira rien, le fruit de l’olivier manquera, les champs ne donneront pas de nourriture ; les brebis disparaîtront du pâturage, et il n’y aura plus de bœufs dans les étables. En effet, le figuier ne fleurira pas, la vigne ne produira rien, le fruit de l’olivier manquera, les champs ne donneront pas de nourriture ; les brebis disparaîtront du pâturage, et il n’y aura plus de bœufs dans les étables.(*) Car le figuier ne fleurira pas, La vigne ne produira rien, Le fruit de l’olivier manquera, Les champs ne donneront pas de nourriture ; Les brebis disparaîtront du pâturage, Et il n’y aura plus de bœufs dans les étables. Car le figuier ne fleurira pas, et il n’y aura pas de produit dans les vignes ; le travail de l’olivier mentira, et les campagnes ne produiront pas de nourriture ; les brebis manqueront dans l’enclos, et il n’y aura pas de bœufs dans les étables ;
18 Mais moi, je me réjouirai en l’Éternel, je m’égaierai dans le Dieu de mon salut.
Mais moi, je me réjouirai en l’Éternel, je m’égaierai dans le Dieu de mon salut.
Toutefois, je veux me réjouir en l’Éternel, je veux me réjouir dans le Dieu de mon salut. Mais moi, je veux me réjouir en l’Eternel, je veux être dans l’allégresse à cause du Dieu de mon salut.(*) Toutefois, je veux me réjouir en l’Éternel, Je veux me réjouir dans le Dieu de mon salut. Mais moi, je me réjouirai en l’Éternel, je m’égaierai dans le Dieu de mon salut.
19 L’Éternel, le Seigneur, est ma force ; il rendra mes pieds pareils à ceux des biches, et il me fera marcher sur mes lieux élevés. Au chef de musique. Avec des instruments à cordes.
L’Éternel, le Seigneur, est ma force ; il rendra mes pieds pareils à ceux des biches, et il me fera marcher sur mes lieux élevés. Au chef de musique. Sur Neguinothh.
L’Éternel, le Seigneur, est ma force ; il rend mes pieds semblables à ceux des biches, et il me fait marcher sur mes lieux élevés. Au chef des chantres. Avec instruments à cordes. L’Eternel, le Seigneur, est ma force : il rend mes pieds semblables à ceux des biches et il me fait marcher sur mes hauteurs. Au chef de chœur. Avec instruments à cordes.(*) L’Éternel, le Seigneur, est ma force ; Il rend mes pieds semblables à ceux des biches, Et il me fait marcher sur mes lieux élevés. Au chef des chantres. Avec instruments à cordes. L’Éternel, le Seigneur, est ma force ; il rendra mes pieds pareils à ceux des biches, et il me fera marcher sur mes lieux élevés. Au chef de musique. Avec des instruments à cordes.
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