2. Jésus, plus grand qu’Aaron, souverain sacrificateur pour nos faiblesses : 5. 1-11
1 En effet, tout souverain sacrificateur pris d’entre les hommes est établi pour les hommes dans tout ce qui concerne Dieu, afin d’offrira des dons et des sacrifices pour les péchés :
2 il est capable d’avoir de l’indulgence pour les ignorants et les égarés, puisqu’il est aussi lui-même enveloppé de faiblesse ;
3 et, à cause de cette faiblesse, il doit présenter des offrandes pour les péchés – pour lui-même aussi bien que pour le peuple.
4 Or personne ne s’arroge cet honneur ; [il ne le reçoit] que s’il est appelé par Dieu, comme le fut Aaron.
5 De même, le Christ aussi ne s’est pas glorifié lui-même pour être fait souverain sacrificateur, mais c’est [Dieu qui l’a glorifié] en lui disant : « Tu es mon Fils ; moi je t’ai aujourd’hui engendré »b ;
6 comme il déclare également dans un autre passage : « Tu es sacrificateur pour l’éternité selon l’ordre de Melchisédec »c.
7 Le Christd, durant les jours de sa chaire, ayant offert, avec de grands cris et avec larmes, des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mortf, et ayant été exaucé à cause de sa piété,
8 bien qu’il fût Fils, a appris l’obéissance par les choses qu’il a souffertes.
9 Et, parfaitement accomplig, il est devenu, pour tous ceux qui lui obéissent, l’auteur du salut éternel,
10 étant salué par Dieu souverain sacrificateur selon l’ordre de Melchisédec.
11 À son sujet, nous avons beaucoup à dire, et des choses difficiles à expliquer, puisque vous êtes devenus paresseux pour écouter.
3. Les choses meilleures qui tiennent au salut : 5. 12 - 6. 20
12 Vous qui, en effet, devriez être des docteurs, vu le temps, vous avez de nouveau besoin qu’on vous enseigne quels sont les premiers rudiments des oracles de Dieu, et vous êtes devenus tels que vous avez besoin de lait, non de nourriture solide ;
13 car quiconque en est encore au lait est inexpérimenté dans la parole de la justice : ◎ c’est un petit enfant ;
14 mais la nourriture solide est pour les hommes faitsh qui, par la pratiquei, ont les sensj exercés à discerner le bien et le mal.