1. Introduction (v. 1-2)
1 L’anciena à Gaïus, le bien-aimé, que j’aime dans la vérité.
2 Bien-aimé, je souhaite qu’à tous égards tu prospères et que tu sois en bonne santé, comme ton âme prospère ;
2. Gaïus, un exemple à imiter (v. 3-8)
3 car je me suis beaucoup réjoui quand des frères sont venus et ont rendu témoignage à ta vérité, [c’est-à-dire] comment tu marches dans la vérité.
4 Je n’ai pas de plus grande joie que d’entendre dire que mes enfants marchent dans la vérité.
5 Bien-aimé, tu agis fidèlement dans tout ce que tu fais pour les frères, même ceux qui sont étrangers :
6 ils ont rendu témoignage à ton amour devant l’assemblée ; et tu feras bien de les accompagnerb d’une manière digne de Dieu,
7 car ils sont sortis pour le Nom, ne recevant rien de ceux des nations.
8 Nous donc, nous devons accueillirc de tels hommes, afin de coopérer avec la vérité.
3. Diotrèphe, un contre-exemple à éviter (v. 9-10)
9 J’ai écrit quelque chose à l’assemblée ; mais Diotrèphe, qui aime être le premier parmi eux, ne nous reçoit pas ;
10 c’est pourquoi, si je viens, je rappellerai les œuvres qu’il fait en débitant de méchantes paroles contre nous ; et, non content de cela, lui-même ne reçoit pas les frères ; ◎ ceux qui veulent les recevoir, il les en empêche et les chasse de l’assemblée.
4. Démétrius, un autre exemple à imiter (v. 11-12)
11 Bien-aimé, n’imite pas le mal, mais le bien. Celui qui fait le bien est de Dieu ; celui qui fait le mal n’a pas vu Dieu.
12 Démétrius a le témoignage de tous, et de la vérité elle-même ; nous aussi, nous lui rendons témoignage, et tu sais que notre témoignage est vrai.
5. Salutations de clôture (v. 13-15)
13 J’avais beaucoup de choses à t’écrire, mais je ne veux pas t’écrire avec l’encre et la plume :
14 ◎ j’espère te voir bientôt et nous parlerons de vive voix.
15 Paix à toi. Les amis te saluent. Salue les amis, chacun par son nom.